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NOTRE HISTOIRE

LE MAZONRIC

La première référence du Mazonric correspond à l’acte n°360 du cartulaire de Saint Chaffre dont la date précise reste inconnue. L’acte nous énumère plusieurs biens dont le monastère à fait l’acquisition pendant que Guillaume IV en était abbé. Parmi ces biens figure “de manso Landric de Pratellas”, dont le monastère a acquis “decimas”, c'est-à- dire la “dîme”, impôt en nature dont le montant était de un dixième des récoltes.

Le terme “de mansus” désigne soit une petite exploitation agricole qui permet de faire vivre une famille, soit une propriété dont la superficie permettrait d’implanter une telle exploitation.

Cet abbé du Monastier, Guillaume IV exerça ses fonctions entre 1087 et 1136, on peut donc faire remonter l’existence de “Mansus Landric” à cet intervalle.

Le hameau est dans la famille de Mourgues depuis 1936, la préservation du patrimoine est la mission des générations qui se succèdent pour rénover et entretenir ce hameau médiéval.

 

Niché sur les gorges de l'allier aux confins du Gévaudan à 1000m d'altitude faisant la limite entre la Lozère et la Haute-Loire, la Margeride et le Vivarais, vous ne regretterez pas de découvrir ce lieu chargé d'histoire.

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Le chateau du Mazonric

Le 9 janvier de l'année 1572, date présente sur la tour du château du mazonric, se maria Guion de Belvezer, qualifié de “noble et puissant baron de Jalavoux et d’Oradour, seigneur de Jonchères, Malesvelhes, en partie de la ville de Pradelles, et d’autres place et seigneuries, chevalier de l’ordre du roi”.

Il épousa une demoiselle Jeanne d’Arpajon qui décéda en 1579 après avoir eu au moins trois enfants.

Le hameau vis au rythme des récoltes depuis et se succèdent différentes exploitations agricoles depuis l'an 1000.. Aujourd'hui, après 30 ans de travaux réalisés par la propriétaire, les chatelaines sont les chèvres...

Une histoire que l'on se doit de raconter!

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